J'avais il y a maintenant quelques années fait une rencontre "fessées" avec une Dame de la haute région dijonnaise que j'avais conviée dans ma maison de campagne dans le Jura, au calme, dans la nature et sans voisinage . Nous avions brièvement échangé via Vivastreet qui hélas a fermé récemment et je lui avais demandé de m'envoyer un mail dans lequel elle détaillerait le scenario dont elle avait envie. Quand j'ai l'opportunité de faire une rencontre "fessées"(ce qui arrive rarement), je demande toujours à la partenaire de fixer les règles, le programme, les limites... etc et je m'y tiens.

Il faut toujours respecter les désirs de sa partenaire de jeu. En général, ces dames ont du mal à verbaliser leurs envies. Pudeur ? Je leur demande donc de le faire par écrit. C'est plus facile et là, elles se libèrent.

J'avais donc demandé à cette dame que je ne connaissais pas, de me faire une "rédaction" -comme au bon vieux temps- pour détailler ses désirs. Le mot "rédaction" l'avait un tantinet perturbée. J'ai retrouvé récemment une copie de son mail que j'insère ci-dessous. J'ai juste corrigé les nombreuses fautes d'orthographe. Voici donc ce qu'elle avait répondu. C'est confus, répétitif, grammaticalement approximatif mais authentique !

"Tu m’as demandé de faire une rédaction pour dire ce que je voulais. Déjà, j'ai horreur d'être obligée ! et obligée de faire une rédaction ! C'est quoi ce délire ? C'est quoi d'ailleurs une rédaction ? il y a longtemps que j'ai oublié… rédaction ça doit venir de rédiger ? bon alors je vais essayer de faire quelques phrases avec pas beaucoup d'idées ! Les lignes noires ou la page blanche ? mon choix ? le noir qui a toujours ma préférence.

Alors comment être punie par un monsieur qu'on ne connaît pas avec une histoire crédible où je me sens naturelle et qui comble mes attentes?

Finalement je vais opter par le plus simple et ce que j'aurais pu vivre lors d'une rencontre, la seule différence étant que dans ma proposition actuelle il est supposé que mon partenaire me plaise ! Ce scénario est né des réflexions de certains messieurs qui ne se remettent pas en question et que j'ai éconduits après une ou plusieurs rencontres.

Alors voilà monsieur le pénible : tu m’as prise à la gare, (finalement j’arriverai à dole au train de 9h07 (ça va me faire lever tôt) dans la voiture on discutera normalement sans entrer dans le jeu. Bla bla bla… Bla bla bla… mon arrivée chez toi pourrait se passer comme ça. C’est à partir de ce moment que nous commencerons notre jeu !

Tu rentres chez toi seul comme si je n’étais pas la. Je sonnerai à ta porte. Tu feras semblant d’être étonné. Je te dirai qu’on avait discuté sur le net pendant quelques jours, on s'était téléphoné et rapidement j’ai eu eu envie de te rencontrer tout à fait amicalement.

J'entre chez toi et nous faisons connaissance. Tu n’es pas très content que je sois arrivée sans te demander ton avis. Tu m’offres quand même un café dans ton salon et tu me grondes de ne pas t’avoir tél"phoné avant. On prendra quand même le temps de boire le café tranquille car le matin j’ai un peu de mal à démarrer par des fessées. Tu me fais faire le tour du propriétaire. Petit à petit, la situation évolue : excitation de ta part, tu profites d’un moment ou je serai devant toi lors de notre visite pour me caresser les fesses puis tu me retournes et tu remontes ma robe. je tente de résister mais tu réussis à me retrousser et tu me caresses les fesses sur mon slip et quand tu veux commencer à me glisser un doigt dans ma culotte je crie en te disant que je ne suis pas là pour ça, je joue la prude, tu me traites d'allumeuse, je te dis que tu exagères, que tu es un obsédé et je refuse de continuer. Je veux partir.

C'est là que mes souvenirs de "la mégère apprivoisée" réapparaissent et que tu me promets une fessée si je ne me calme pas et n'assume pas mes actes.

Bien sûr je ne t'écoute pas ; tu me tires par la main tu t’assois sur une chaise et tu me contrains par la force à m’allonger sur tes genoux. Je me débats mais tu me bloques et commences à me fesser sur ma robe, pas trop fort et lentement, et ensuite tu prends un malin plaisir à relever ma robe en te moquant de moi (tu me dis que tu vas me fesser comme une gamine, que je suis une petite garce qui mérite une bonne fessée……très important utilise souvent le mot « gamine », tu me fesses sur ma culotte sans taper comme un sourd mais pour faire rosir mes fesses, pour les chauffer. Puis tu découvres mes fesses en tirant ma culotte dans la raie, tu te moques encore, tu me claques assez fort, ça va me piquer, je te supplie d’arrêter mais tu me dis que tu le feras quand je t’aurai sucé et que si je refuse tu vas me baisser la culotte comme à une gamine. Je te supplie de ne pas le faire mais je refuse alors tu te mets en colère et tu baisses ma culotte très lentement, je hurle mais tu ne m’écoutes pas, tu te moques de mes fesses toutes nues, toutes roses et tu me fesses comme une gamine. Tu me donneras une vraie fessée, rapide et assez forte (pas comme un malade quand même). La mes fesses devront devenir très chaudes et rouges. Tu me dis que j'ai mérité cette fessée, (il faudra te moquer de moi, de mes fesses qui rougissent etc). Je vais essayer de gigoter de me sauver, tu me dis d'arrêter de bouger sinon la punition durera plus longtemps et sera plus dure, etc… et tu n'arrêteras que lorsque j'aurais accepté de te sucer. Evidemment je refuse alors tu continues la fessée de plus en plus vite et plus fort (pas trop tout de même). Quand j’aurai trop mal à supporter je vais te supplier d’arrêter en te disant que je vais te sucer mais ce n'est pas ma reddition qui finalement va compter mais ton envie à toi de continuer et de me punir comme tu le souhaites. Alors tu pourras arrêter et me faire mettre à genoux, tu me donnera ton sexe à sucer. Si tu préfères tu pourras continuer de me fesser malgré mes supplications. Mais attention si je dis le mot PITIE il faudra arrêter ça voudra dire que je ne supporte plus du tout. Tu dois en prendre l’engagement sinon ça ira mal pour toi !

Quand je dirai PITIE je te ferai une fellation mais quand tu seras sur le point d’éjaculer je m’arrêterai. Tu te mettras en colère. Normalement après 10 ou 15 minutes de la précédente je devrai pouvoir supporter une nouvelle punition. Tu me conduiras dans ton parc sous le grand arbre qui est sur la photo. Tu m’obligeras à me déshabiller totalement et tu m’attacheras les mains à la chaine qui pend comme sur la photo. Pas trop serré car je veux pouvoir me détacher toute seule. TRES IMPORTANT ! tu me laissera attachée là toute seule. Tu iras cueillir une baguette dans ta haie et tu me cinglera les fesses avec pas trop fort, juste pour cingler mais pas trop quand même. Ne tape pas trop fort au début car ça cingle terrible et je risque de ne pas supporter. Fouette doucement puis de plus en plus vite mais pas trop fort ça ferait trop mal. Uniquement sur les fesses ! Tu me fouetteras jusqu’à ce que je dise PITIE, alors tu arrêteras.

Tu me caresseras sauvagement partout, tu me branleras le clito en même temps tu me mettras un doigts dans le vagin. Je vais protester et tu me menaceras de me sodomiser si je me tais pas. Tu me pinceras et me claqueras les seins mais pas trop fort. Tu me branleras encore le clito en m’enfonçant encore un doigt dans les fesses jusqu’à ce que je sois sur le point de jouir mais tu arrêteras avant.

Tu me détacheras et tu m’obligera à me promener nue autour de chez toi en me cinglant de temps en temps avec la badine pour me faire avancer.

Après tu m’emmèneras dans ton salon et tu me fera allonger sur le ventre sur un divan les fesses bien relevées. Tu pourras me fesser encore si tu veux pour m’obliger à écarter très fort les jambes et feras ce que tu veux mais j’aimerais que tu me lèches l’anus longuement en me branlant le clito. Si tu as des gods tu pourras me sodomiser avec. Tu m’en mettras un dans les fesses, un petit et tu me retourneras sur le dos. Tu me lècheras le sexe et le clito en me branlant avec le god dans l’anus. J’adore ça. Tu ne me feras pas jouir trop vite surtout. Si je suis trop excitée ça risque d’arriver vite alors contrôle bien. Si j’avais du mal à jouir (ça m’étonnerait), relève moi les jambes et claque moi les fesses doucement puis de plus en plus vite tout ne me léchant le clito (pas facile mais super efficace).

En général j’ai toujours un orgasme très fort et si on continue de me lécher en me branlant le cul j’en ai 2 ou 3 plus petits après.

Et après apéritif !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ensuite on déjeunera. on fera un barbecue, ils annoncent du beau temps et j’adore les barbec, à Montbard je ne peux pas en faire. Après mangé comme je serai forcément calmée je te ferai l'amour femme dessus (ou pas si tu préfères pas) et obligatoirement car j'en aurai besoin, tu me donneras cette fois de la tendresse … J’adore faire l’amour l’après midi surtout quand j’ai les fesses encore chaudes !

Il est bien évident que ce scénario se rapprochant de la réalité, si vraiment tu ne me plaisais pas ou l'inverse d'ailleurs nous devons prononcer un mot HALTE pour revenir dans la réalité et la normalité et stopper le jeu. Ce même mot servant aussi si j'estime que j'ai atteint mes limites ou que j'ai plus envie et souhaite arrêter.

Si je dis PITIE, ça voudra dire d’arrêter la punition qui est trop forte.

Si je dis HALTE ça signifiera stop on arrête tout. Et ça ce sera incontournable. On ira se balader à Dole et tu me reconduiras à la gare sans histoire. Pas de lézard ! Je te préviens que je dirai à ma meilleurs amie ou je suis et je veux que tu arrêtes si je te demande.

Si tout va bien, alors après l’amour et quand je t’aurai fait jouir on pourra faire une promenade dans les bois autour de chez toi. J’aime bien les bois. Si c’est 2 ou 3 heures après les premières fessées mes fesses seront reposées et je devrais être capable de recevoir de nouvelles fessées. Comme j'ai tendance à être impertinente tu pourras aussi te servir d’un prétexte pour me fesser à un autre moment de la promenade si tu en as envie, à moins que je sois trop optimiste et mes fesses soient trop douloureuses et demandent grâce ! J’aime bien être fessée avec des petites branches qui cinglent. Ça fait mal mais c’est génial l’effet que ça fait.

Bon, si tu as d’autres idées quand on sera rentré de promenade je veux bien aussi reprendre des jeux de fessées si on a le temps. Et tu peux aussi utiliser mes mouvements d'humeur par écrit ou en réel pour sévir… ou ma façon d'écrire cette rédaction, pas très académique ou ….. ???? Tu pourras me fesser presque comme tu veux ou si tu as des martinets tu pourras aussi me fouetter comme une gamine.

Mais oublie pas : si je dis pitié tu arrêtes et si j’aime bien des gods dans les fesses mais pas trop gros je ne veux pas de vraie sodomie, je ne suce pas jusqu’au bout du moins je n’avale pas et bien sur préservatifs obligatoires !

On arrêtera de jouer vers 18 heures, tu me feras jouir comme tu veux et on mangera un peu si on a le temps et tu me remmèneras à Dole au train de 19h59. Il n,’y a plus de train pour Montbard après faudra pas le louper.

Voilà ce que je te propose. Dis moi ce que tu en penses et si tu t u t’engages à respecter mes conditions. Si ça ne te plait pas tu m'oublies. Bye.

Sandra